Publié dans le mini fanzine « Il est minuit, Juliette » édité à l’initiative d’Anne Simon, Polina Petrouchina et François De Jonge à l’occasion de Pierre Feuille Ciseau.
Pour comprendre la référence, c’est ici.
EDIT : au fait que je crois qu’on dit LA saline et non pas Les Salines (vu qu’elle est royale il ne doit pas y en avoir douze-mille). Tant pis, tant prout.
C’est dingue, j’ai aussi passé ma semaine à avoir l’impression de revivre Mélancholia dans ce décor de théatre délirant de la saline. Et puis non, il nous ont jetés hors du film comme on sort de prison, avec une lourde porte qui claque et un retour à une réalité pluvieuse. En attente d’un boulot de réinsertion après cet enfermement volontaire (?).